- EAN13
- 9782258075658
- ISBN
- 978-2-258-07565-8
- Éditeur
- Les Presses de la Cité
- Date de publication
- 02/09/2010
- Collection
- Sang d'Encre
- Nombre de pages
- 369
- Dimensions
- 22,6 x 14,1 x 3,2 cm
- Poids
- 480 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- suédois
- Code dewey
- 849
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Box 21
roman
De Anders Roslund, Borge Hellstrom
Traduit par Terje Sinding
Les Presses de la Cité
Sang d'Encre
?il pour œil.
Lorsque Lydia est admise en urgence à l'hôpital Söder de Stockholm, les médecins découvrent avec horreur que ses blessures sont dues à des coups de fouet. Contrainte à se prostituer, la jeune Lithuanienne a été punie par son souteneur après avoir tenté de se révolter. Malgré sa souffrance, elle n'a qu'une idée en tête : se venger de l'homme qui l'a réduite en esclavage. Dans le même hôpital, le commissaire Ewert Grens est sur la piste de l'un des parrains de la mafia locale, un criminel qu'il souhaite confondre pour des raisons très personnelles. Les chemins de Lydia et de Grens ne vont pas tarder à se croiser.
Dans ce roman au réalisme brut, Roslund et Hellström font une peinture sans concession du quotidien des " filles de l'Est ", ces esclaves anonymes victimes d'un trafic indigne qui arpentent chaque soir les trottoirs des grandes villes européennes. Une lecture coup de poing, dont on ne sort pas indemne.
Lorsque Lydia est admise en urgence à l'hôpital Söder de Stockholm, les médecins découvrent avec horreur que ses blessures sont dues à des coups de fouet. Contrainte à se prostituer, la jeune Lithuanienne a été punie par son souteneur après avoir tenté de se révolter. Malgré sa souffrance, elle n'a qu'une idée en tête : se venger de l'homme qui l'a réduite en esclavage. Dans le même hôpital, le commissaire Ewert Grens est sur la piste de l'un des parrains de la mafia locale, un criminel qu'il souhaite confondre pour des raisons très personnelles. Les chemins de Lydia et de Grens ne vont pas tarder à se croiser.
Dans ce roman au réalisme brut, Roslund et Hellström font une peinture sans concession du quotidien des " filles de l'Est ", ces esclaves anonymes victimes d'un trafic indigne qui arpentent chaque soir les trottoirs des grandes villes européennes. Une lecture coup de poing, dont on ne sort pas indemne.
S'identifier pour envoyer des commentaires.