Otrante n°46, Paradoxes de l'espace-temps
EAN13
9782841749522
ISBN
978-2-84174-952-2
Éditeur
Kimé
Date de publication
Nombre de pages
204
Dimensions
21,1 x 14,5 x 0,1 cm
Poids
1 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Otrante n°46

Paradoxes de l'espace-temps

Kimé

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Depuis Walt Whitman et Herman Melville en passant par tous les romans associés à la conquête de l’Ouest jusqu’à On the Road, Star Trek, ou Westworld, la fiction américaine est associée aux grands espaces, aux déplacements et, par nécessité, au temps. Par ailleurs, on connaît la place des littératures de genre, et en particulier d’anticipation et de science-fiction dans la littérature des États-Unis. Cette journée d’étude voudrait revisiter ce sujet largement étudié du voyage et du déplacement dans les grands espaces américains (mais pas uniquement) en le transposant dans l’imaginaire contemporain : en s’intéressant à des œuvres où la science joue un rôle à travers un imaginaire de l’espace-temps – sans qu’il y ait pour autant nécessairement de références claires à Einstein et aux théories de la relativité (restreinte ou générale), ou à des œuvres où l’espace-temps est recyclé, démultiplié, virtualisé. L’imaginaire scientifique est riche en histoires où les temps et les espaces se dédoublent, se superposent ou se répètent et la méta-réflexivité des fictions contemporaines alimente ces nouvelles architectures diégétiques.
Depuis Walt Whitman et Herman Melville en passant par tous les romans associés à la conquête de l’Ouest jusqu’à On the Road, Star Trek, ou Westworld, la fiction américaine est associée aux grands espaces, aux déplacements et, par nécessité, au temps. Par ailleurs, on connaît la place des littératures de genre, et en particulier d’anticipation et de science-fiction dans la littérature des États-Unis. Cette journée d’étude voudrait revisiter ce sujet largement étudié du voyage et du déplacement dans les grands espaces américains (mais pas uniquement) en le transposant dans l’imaginaire contemporain : en s’intéressant à des œuvres où la science joue un rôle à travers un imaginaire de l’espace-temps – sans qu’il y ait pour autant nécessairement de références claires à Einstein et aux théories de la relativité (restreinte ou générale), ou à des œuvres où l’espace-temps est recyclé, démultiplié, virtualisé. L’imaginaire scientifique est riche en histoires où les temps et les espaces se dédoublent, se superposent ou se répètent et la méta-réflexivité des fictions contemporaines alimente ces nouvelles architectures diégétiques.
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