- EAN13
- 9782830915662
- ISBN
- 978-2-8309-1566-2
- Éditeur
- Labor et Fides
- Date de publication
- 18/02/2015
- Collection
- Religions et modernités
- Nombre de pages
- 316
- Dimensions
- 22,5 x 14,8 x 2,4 cm
- Poids
- 445 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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En se fondant sur plusieurs enquêtes représentatives et plus de 70 entretiens approfondis, les auteurs de ce livre analysent les conséquences de l’
hyperindividualisme
contemporain sur l’expérience de la vie religieuse, spirituelle et séculière. La société de l’ego a vu se développer quatre types de relations au religieux-spirituel : l’institutionnel, l’alternatif, le distancié et le séculier.
Chacun de ces caractères illustre une manière de vivre la croyance, la pratique religieuse ou séculière. Les auteurs montrent dans leur enquête comment le changement de régime du religieux amorcé au cours des années 1960 a favorisé l’affaiblissement des Eglises, le développement d’un « do
it
yourself
» religieux et l’avènement des biens spirituels au rang de produits de consommation de masse.
Jörg
Stolz
est professeur de sociologie des religions à l’Université de Lausanne.
Judith
Könemann
est professeure de théologie pratique à la Faculté de théologie catholique de Münster.
Mallory
Schneuwly
Purdie
e
st chercheuse associée à l’Institut de sciences sociales des religions contemporaines de l’Université de Lausanne.
Thomas
Englberger
est chercheur associé à l’Institut de sciences sociales des religions contemporaines de l’Université de Lausanne.
Michael
Krüggeler
est chercheur en sociologie des religions à l’Université de Münster.
hyperindividualisme
contemporain sur l’expérience de la vie religieuse, spirituelle et séculière. La société de l’ego a vu se développer quatre types de relations au religieux-spirituel : l’institutionnel, l’alternatif, le distancié et le séculier.
Chacun de ces caractères illustre une manière de vivre la croyance, la pratique religieuse ou séculière. Les auteurs montrent dans leur enquête comment le changement de régime du religieux amorcé au cours des années 1960 a favorisé l’affaiblissement des Eglises, le développement d’un « do
it
yourself
» religieux et l’avènement des biens spirituels au rang de produits de consommation de masse.
Jörg
Stolz
est professeur de sociologie des religions à l’Université de Lausanne.
Judith
Könemann
est professeure de théologie pratique à la Faculté de théologie catholique de Münster.
Mallory
Schneuwly
Purdie
e
st chercheuse associée à l’Institut de sciences sociales des religions contemporaines de l’Université de Lausanne.
Thomas
Englberger
est chercheur associé à l’Institut de sciences sociales des religions contemporaines de l’Université de Lausanne.
Michael
Krüggeler
est chercheur en sociologie des religions à l’Université de Münster.
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