Le tonneau

Dominique Mainard

Rivages

  • Conseillé par
    29 juillet 2010

    Quatrième de couverture :
    Londres, 1912. Les docks Sainte-Katherine. A l'intérieur d'un tonneau d'apparence anodine, on découvre le cadavre d'une jeune femme vêtue d'une robe de soirée. Qui l'a assassinée ? (…)

    Aux prises avec un plan d'une ingéniosité diabolique, deux policiers - le Français Lefarge et l'Anglais Burnley - sillonnent l'Europe pour démêler l'écheveau d'un des crimes les plus inventifs du début du XXe siècle.

    Un des grands classiques de l'énigme, indispensable dans la bibliothèque de l'amateur de mystère.

    "Sans doute le meilleur premier roman policier jamais écrit." (Raymond Chandler)

    Une quatrième de couverture qui ne ment pas…
    Je n’ai pas mis le résumé en entier car je trouve qu’il en dit de trop ! Surtout ne le lisez pas avant d’ouvrir ce bijou !

    Je suis heureuse ! J’ai enfin pu terminer ce livre en savourant l’ambiance de cette époque. Et un roman policier de surcroit. Moi qui ne suis pas forcément une adepte de ce genre, j’ai été conquise !

    Déjà, je me suis retrouvée dans un monde aux allures, certes désuètes, mais si agréables. Les transports par bateau, les télégrammes, Scotland Yard, un savoir vivre oublié… Car si je frappe à la porte d’une administration quelconque et que je demande un renseignement, je ne suis pas certaine qu’on me réponde « Oui Madame, je vais voir que je peux faire. Voulez–vous bien patienter ? ». Dans ce livre, on trouve des personnages polis et plaisants, l'atmosphère palpable de Londres et de Paris en ce début de XXième siècle.

    Une intrigue ficelée avec brio et portée par une écriture délicieuse… je vous le dis : un pur moment de bonheur !