- EAN13
- 9782823841541
- Éditeur
- 12-21
- Date de publication
- 08/09/2015
- Collection
- Policier / thriller
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - 10-18 7,50
Retrouvez toutes les affaires débrouillées par le juge Ti chez 12-21,
l'éditeur numérique !
En 668, durant un séjour chez son ami le magistrat Lo dans le district de
Chin-Houa, le désormais célèbre juge Ti va aider celui-ci à résoudre plusieurs
affaires de meurtre : l'assassinat du jeune Song, candidat aux examens
littéraires et celui d'une danseuse, Petit Phénix. Il fera également la
lumière sur la culpabilité d'une poétesse, Yo la, accusée d'avoir assassiné
une servante et mettra à jour une erreur judiciaire.
Comme toujours, l'intrigue policière est pour Robert Van Gulik un formidable
prétexte pour recréer l'univers délicieusement dépaysant de la Chine des
T'ang.
" Le savant et le dandy se mêlaient en Van Gulik, comme se côtoient dans ses
romans Excellences et malabars, déesses de la Miséricorde et statues du roi
Dragon, canards mandarins de l'amour fidèle et serpents de la passion
meurtrière. On y arpente les égouts avec élégance avant d'aller au palais du
gouverneur prendre - évidemment - une tasse de thé. "
Michel Grisolia, L'Express
l'éditeur numérique !
En 668, durant un séjour chez son ami le magistrat Lo dans le district de
Chin-Houa, le désormais célèbre juge Ti va aider celui-ci à résoudre plusieurs
affaires de meurtre : l'assassinat du jeune Song, candidat aux examens
littéraires et celui d'une danseuse, Petit Phénix. Il fera également la
lumière sur la culpabilité d'une poétesse, Yo la, accusée d'avoir assassiné
une servante et mettra à jour une erreur judiciaire.
Comme toujours, l'intrigue policière est pour Robert Van Gulik un formidable
prétexte pour recréer l'univers délicieusement dépaysant de la Chine des
T'ang.
" Le savant et le dandy se mêlaient en Van Gulik, comme se côtoient dans ses
romans Excellences et malabars, déesses de la Miséricorde et statues du roi
Dragon, canards mandarins de l'amour fidèle et serpents de la passion
meurtrière. On y arpente les égouts avec élégance avant d'aller au palais du
gouverneur prendre - évidemment - une tasse de thé. "
Michel Grisolia, L'Express
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