Revue Mouvements numéro 89 La gauche est morte, vive la gauche !
EAN13
9782707194527
ISBN
978-2-7071-9452-7
Éditeur
La Découverte
Date de publication
Collection
REVUE MOUVEMENT (RMV 000089)
Nombre de pages
180
Dimensions
24 x 16 x 1,1 cm
Poids
292 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Revue Mouvements numéro 89 La gauche est morte, vive la gauche !

De

La Découverte

Revue Mouvement

Indisponible
Les numéros que Mouvements a consacrés à la gauche, chaque année d'élection présidentielle et législative depuis sa création en 1998, s'inscrivaient dans le projet fondateur de la revue : contribuer à la construction d'alliances politiques en vue de la victoire électorale d'une « gauche plurielle ».
Mais aujourd'hui les partis de gauche, désencastrés des mondes populaires qu'ils prétendent représenter, polarisés par le système électoral de la Ve République, sont incapables d'offrir une traduction politique aux mobilisations, luttes et initiatives apparues ces dernières années, qui dessinent de nouveaux clivages. La politique néolibérale et sécuritaire du Parti socialiste et de ses alliés depuis 2012 l’a montré : l’alternative ne viendra pas de la gauche partidaire. Ce dossier de Mouvements dresse le constat de ces impasses et revient sur les recompositions du champ partisan de gauche à l'œuvre en Europe et en Amérique, pour appeler à l’émergence d’un nouveau projet émancipateur articulant classe, genre et race.
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"La gauche est morte ? Vive la gauche !" et "Le Front National : évolution et influences"
Le , Le Merle Moqueur

Les mercredi 29 et jeudi 30 mars, retrouvez à la librairie Le Merle moqueur un cycle de discussions politiques.

Pour notre première soirée, nous accueillerons quelques contributeurs du n°89 de la revue Mouvements pour dresser un état des lieux des différentes gauches, en présence de Rafaël Cos, Danièle Linhart, Pierre Salama et Dominique Méda.

Pour notre seconde soirée, le débat s’axera cette fois-ci autour du Front National avec deux auteurs spécialistes du sujet, l'historienne Valérie Igounet ainsi que le sociologue et politiste Joël Gombin.