- EAN13
- 9782330120559
- ISBN
- 978-2-330-12055-9
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 15/05/2019
- Collection
- BD (2)
- Séries
- Demain, demain (2)
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 28 x 19,7 x 2,1 cm
- Poids
- 840 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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24.00
Dans Demain, demain, publié en 2012, Laurent Maffre reconstituait, sous la forme d’une fiction documentaire, le quotidien d’une famille d’immigrés algériens, les Saïfi, installés dans le vaste bidonville de La Folie, dans les années 60. Situé à Nanterre, on y maintenait à l’écart de la société, des dizaines de milliers de personnes, travailleurs, ouvriers, venus prêter main forte aux usines et chantiers de constructions français, quittant leur pays pour un mirage, celui d’une vie meilleure.
Ce deuxième volume débute en 1973. Le bidonville a été rasé, les familles sont relogées dans des cités de transit... Laurent Maffre dévoile ici un autre pan de notre histoire récente, trop souvent oubliée.
Il ne reste rien du bidonville de la Folie à Nanterre, rasé en 1971, quelques années seulement après le départ de la famille Saïfi qui, entre-temps, a été installée rue du Port à Gennevilliers, un no man’s land où plusieurs cités de transit ont été édifiées. Produit de la pensée coloniale, ces dernières se présentaient comme le lieu où une action socioéducative devait être menée afin de favoriser l’insertion sociale des populations immigrées et l’accession aux HLM. Marginalisés, surveillés par l’administration, les enfants de la seconde génération prennent conscience de l’injustice de leur condition.
Ce deuxième volume débute en 1973. Le bidonville a été rasé, les familles sont relogées dans des cités de transit... Laurent Maffre dévoile ici un autre pan de notre histoire récente, trop souvent oubliée.
Il ne reste rien du bidonville de la Folie à Nanterre, rasé en 1971, quelques années seulement après le départ de la famille Saïfi qui, entre-temps, a été installée rue du Port à Gennevilliers, un no man’s land où plusieurs cités de transit ont été édifiées. Produit de la pensée coloniale, ces dernières se présentaient comme le lieu où une action socioéducative devait être menée afin de favoriser l’insertion sociale des populations immigrées et l’accession aux HLM. Marginalisés, surveillés par l’administration, les enfants de la seconde génération prennent conscience de l’injustice de leur condition.
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