- EAN13
- 9782364684706
- ISBN
- 978-2-36468-470-6
- Éditeur
- Editions du Sous-Sol
- Date de publication
- 07/01/2021
- Collection
- FEUILLETON FICT
- Nombre de pages
- 397
- Dimensions
- 23,2 x 16,1 x 2,4 cm
- Poids
- 502 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Fiches UNIMARC
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“Je suis arrivé par la douleur à la joie”, écrit le poète José Hierro.
De chambres d’hôtel en aéroports, assailli par une profusion de souvenirs, Manuel Vilas poursuit la mise à nu de son narrateur. Il orchestre la symphonie de la mémoire et enrichit son tableau de nouveaux motifs comme celui de l’allégresse. Toujours entouré de ses musiciens, ombres de son passé, en dialogue incessant avec les doubles de ses fantômes, auxquels il ajoute Arnold (pour Schönberg), sa part sombre, son ange de la dépression. Le passé coule partout, vague sans cesse rabattue, il est dans les machines à presser les oranges, dans les chemises jamais assez blanches, dans les cours d’eau, comme sous le sol que l’on foule.
“La joie venait toujours après la peine”, chante Apollinaire, Alegría tend résolument du côté de la lumière et Manuel Vilas offre, après Ordesa, un grand livre solaire. Son audace littéraire et sa capacité à transfigurer l’intime en universel le désignent comme un de nos écrivains contemporains majeurs.
De chambres d’hôtel en aéroports, assailli par une profusion de souvenirs, Manuel Vilas poursuit la mise à nu de son narrateur. Il orchestre la symphonie de la mémoire et enrichit son tableau de nouveaux motifs comme celui de l’allégresse. Toujours entouré de ses musiciens, ombres de son passé, en dialogue incessant avec les doubles de ses fantômes, auxquels il ajoute Arnold (pour Schönberg), sa part sombre, son ange de la dépression. Le passé coule partout, vague sans cesse rabattue, il est dans les machines à presser les oranges, dans les chemises jamais assez blanches, dans les cours d’eau, comme sous le sol que l’on foule.
“La joie venait toujours après la peine”, chante Apollinaire, Alegría tend résolument du côté de la lumière et Manuel Vilas offre, après Ordesa, un grand livre solaire. Son audace littéraire et sa capacité à transfigurer l’intime en universel le désignent comme un de nos écrivains contemporains majeurs.
Commentaires des libraires
Gracias a la vida
Manuel Vilas poursuit son introspection, après le délicat et amer Ordesa, Alegria apparaît comme un pendant lumineux, certes nostalgique mais comme un retour à la vie. Une grande voix de l'auto-fiction à l'espagnole.
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