- EAN13
- 9791022611916
- ISBN
- 979-10-226-1191-6
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 08/04/2022
- Collection
- Bibliothèque hispanique
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 21,6 x 14,2 x 3,1 cm
- Poids
- 324 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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Une jeune universitaire se rend compte qu’un homme qu’elle connaît, Quirós, a volé le crâne du légendaire réalisateur du cinéma muet F.W. Murnau. Tandis qu’elle retrace sa rencontre avec Quirós – cinéphile désargenté, dandy obsédé par les voyages et les œuvres non finies – la narratrice explore les limites de la vie artistique et intellectuelle, la surabondance de l’information, les excès du capitalisme et, bien sûr, la puissance du désamour.
Avec un souffle hypnotique et un humour ravageur, ce premier roman, surprenant d’ambition littéraire et de sens de la dérision, est une tragi-comédie déjantée. La ferveur d’une femme érudite et ironique devient un feu d’artifice halluciné où se succèdent des voyages en Polynésie à la recherche de films maudits, des recherches farfelues sur ce que les grands personnages des derniers siècles faisaient à l’âge de 32 ans et des théories inattendues sur ce que signifient les voyages et le tourisme.
Ce livre, qui recherche avec autodérision la profondeur qui scintille entre le cinéma, la littérature, la vie et les illusions perdues dans l’époque des algorithmes, est narré avec la causticité de Pénélope à qui on aurait demandé de raconter L’Odyssée.
Avec un souffle hypnotique et un humour ravageur, ce premier roman, surprenant d’ambition littéraire et de sens de la dérision, est une tragi-comédie déjantée. La ferveur d’une femme érudite et ironique devient un feu d’artifice halluciné où se succèdent des voyages en Polynésie à la recherche de films maudits, des recherches farfelues sur ce que les grands personnages des derniers siècles faisaient à l’âge de 32 ans et des théories inattendues sur ce que signifient les voyages et le tourisme.
Ce livre, qui recherche avec autodérision la profondeur qui scintille entre le cinéma, la littérature, la vie et les illusions perdues dans l’époque des algorithmes, est narré avec la causticité de Pénélope à qui on aurait demandé de raconter L’Odyssée.
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