- EAN13
- 9782705663742
- ISBN
- 978-2-7056-6374-2
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 27/06/1998
- Collection
- HR.HORS COLLEC.
- Nombre de pages
- 156
- Dimensions
- 21 x 15 x 0,9 cm
- Poids
- 254 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 509
- Fiches UNIMARC
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Traduction de Laura Germain
Publié par Robert B. Silvers pour la prestigieuse New York Review of Books, sous le titre Hidden Histories of Science, cet ouvrage réunit cinq grands textes inédits d'écrivains de renommée mondiale qui explorent certains aspects méconnus, voire inconnus, de la découverte scientifique. Jonathan Miller, Oliver Sacks et Daniel J. Kevles montrent comment des concepts apparemment prometteurs tombent dans l'oubli, puis réapparaissent sur le devant de la scène des années plus tard. Richard Lewontin et Stephen Jay Gould évoquent le fossé qui sépare les scientifiques du reste de la population dès lors qu'il s'agit de préciser certaines notions communément admises, telles que « l'adaptation » ou « l'environnement ». On constate une distorsion profonde entre les manières de concevoir l'histoire naturelle et l'évolution de l'homme, Au fil de ces pages, on perçoit que la science est, pour reprendre les termes d'Oliver Sacks, « une entreprise humaine, une croissance organique et évolutive, avec des départs soudains, des arrêts et d'étranges déviations. Elle sourd de son passé mais ne le dépasse jamais, pas plus que nous ne dépassons notre enfance. »
Publié par Robert B. Silvers pour la prestigieuse New York Review of Books, sous le titre Hidden Histories of Science, cet ouvrage réunit cinq grands textes inédits d'écrivains de renommée mondiale qui explorent certains aspects méconnus, voire inconnus, de la découverte scientifique. Jonathan Miller, Oliver Sacks et Daniel J. Kevles montrent comment des concepts apparemment prometteurs tombent dans l'oubli, puis réapparaissent sur le devant de la scène des années plus tard. Richard Lewontin et Stephen Jay Gould évoquent le fossé qui sépare les scientifiques du reste de la population dès lors qu'il s'agit de préciser certaines notions communément admises, telles que « l'adaptation » ou « l'environnement ». On constate une distorsion profonde entre les manières de concevoir l'histoire naturelle et l'évolution de l'homme, Au fil de ces pages, on perçoit que la science est, pour reprendre les termes d'Oliver Sacks, « une entreprise humaine, une croissance organique et évolutive, avec des départs soudains, des arrêts et d'étranges déviations. Elle sourd de son passé mais ne le dépasse jamais, pas plus que nous ne dépassons notre enfance. »
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