- EAN13
- 9782494054066
- ISBN
- 978-2-494-05406-6
- Éditeur
- LE GOSPEL
- Date de publication
- 16/02/2024
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 2,1 cm
- Poids
- 302 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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“Les défunts sont au-delà de la beauté mais seulement parce que toute crainte, toute tension, toute antipathie les a quittés. Ils ont perdu tout leur chaos et leur boucan, comme un centre commercial au milieu de la nuit.”
Amelia Aurelia est une jeune femme au contact constant de la mort. Employée par l’entreprise de pompes funèbres familiale sur la côte australienne, elle est experte dans le maquillage des défunts, les sublimant pour leur dernier voyage. Sa vie est compartimentée en deux réalités : le deuil des autres qu’elle accompagne pendant la journée avec sa famille légèrement dysfonctionnelle, et l’oubli qu’elle cherche chaque nuit lors de relations fugaces initiées via des applis de rencontre. Sa vie bascule quand sa mère meurt soudainement. Incapable d’affronter son chagrin et l’effondrement d’un équilibre fragile, elle fuit pour retrouver son père biologique, un écrivain raté parti s’installer au fin fond de la Tasmanie rurale. Renouant difficilement le contact avec lui, elle ouvre, au hasard d’Internet, une véritable boîte de Pandore : celle du milieu BDSM local.
Au cœur d’une nature sauvage et luxuriante, Une créature de douleur est un roman unique en son genre, mêlant humour noir, réflexion puissante sur le corps féminin et évocation humaniste du deuil. Une œuvre qui touche par sa grâce subversive à des sujets universels, à classer quelque part entre L’année de la pensée magique de Joan Didion, la série Six Feet Under et la poésie d’Emily Dickinson.
Ella Baxter vit à Melbourne. Elle a fait une entrée remarquée dans la littérature anglo-saxonne avec ce premier roman.
Traduit de l’anglais (Australie) par Adrien Durand.
Amelia Aurelia est une jeune femme au contact constant de la mort. Employée par l’entreprise de pompes funèbres familiale sur la côte australienne, elle est experte dans le maquillage des défunts, les sublimant pour leur dernier voyage. Sa vie est compartimentée en deux réalités : le deuil des autres qu’elle accompagne pendant la journée avec sa famille légèrement dysfonctionnelle, et l’oubli qu’elle cherche chaque nuit lors de relations fugaces initiées via des applis de rencontre. Sa vie bascule quand sa mère meurt soudainement. Incapable d’affronter son chagrin et l’effondrement d’un équilibre fragile, elle fuit pour retrouver son père biologique, un écrivain raté parti s’installer au fin fond de la Tasmanie rurale. Renouant difficilement le contact avec lui, elle ouvre, au hasard d’Internet, une véritable boîte de Pandore : celle du milieu BDSM local.
Au cœur d’une nature sauvage et luxuriante, Une créature de douleur est un roman unique en son genre, mêlant humour noir, réflexion puissante sur le corps féminin et évocation humaniste du deuil. Une œuvre qui touche par sa grâce subversive à des sujets universels, à classer quelque part entre L’année de la pensée magique de Joan Didion, la série Six Feet Under et la poésie d’Emily Dickinson.
Ella Baxter vit à Melbourne. Elle a fait une entrée remarquée dans la littérature anglo-saxonne avec ce premier roman.
Traduit de l’anglais (Australie) par Adrien Durand.
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