- EAN13
- 9782879293929
- ISBN
- 978-2-87929-392-9
- Éditeur
- Éditions de L'Olivier
- Date de publication
- 25/09/2003
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 0,1 x 0,1 x 0,1 cm
- Poids
- 501 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 814.54
- Fiches UNIMARC
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" Mon troisième roman, Les Corrections, sur lequel j'avais travaillé durant de nombreuses années, a été publié une semaine avant l'effondrement du World Trade Center. C'était un moment où il semblait que les voix de l'ego et du commerce étaient en devoir de se taire – un moment où vous vouliez, selon la formule de Nick Carraway, que "le monde soit en uniforme et dans une sorte de garde-à-vous moral à tout jamais'. Néanmoins, les affaires sont les affaires. Quarante-huit heures après la catastrophe, je donnais de nouveau des interviews. "
Politiques, polémiques ou personnels, ces neuf essais s'efforcent chacun de résoudre une contradiction : entre l'art et la culture de masse, le besoin d'intimité et l'empire de la publicité, la médicalisation à outrance et le sens tragique de la vie, la puissance " impériale " de l'Amérique et son incapacité à protéger la dignité humaine.
Si Jonathan Franzen se tourne vers la littérature, c'est moins pour y chercher des références que des solutions expérimentales : comme si Flannery O'Connor, Thomas Pynchon ou William Gaddis étaient là pour nous rappeler que la fiction est le laboratoire de la réalité.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Rémy Lambrechts.
Politiques, polémiques ou personnels, ces neuf essais s'efforcent chacun de résoudre une contradiction : entre l'art et la culture de masse, le besoin d'intimité et l'empire de la publicité, la médicalisation à outrance et le sens tragique de la vie, la puissance " impériale " de l'Amérique et son incapacité à protéger la dignité humaine.
Si Jonathan Franzen se tourne vers la littérature, c'est moins pour y chercher des références que des solutions expérimentales : comme si Flannery O'Connor, Thomas Pynchon ou William Gaddis étaient là pour nous rappeler que la fiction est le laboratoire de la réalité.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Rémy Lambrechts.
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