- EAN13
- 9782072941986
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 20/05/2021
- Collection
- Tel
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Fiches UNIMARC
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Le Déclin de l'Occident. Esquisse d'une morphologie de l'histoire universelle
Oswald Spengler
Gallimard
Tel
Autre version disponible
-
Papier - Gallimard 29,90
Déracinement par l’exode rural, aliénation par le travail, nervosité et
neurasthénie de la vie urbaine, mais aussi migrations et mélanges… Oswald
Spengler se penche en philosophe sur ces questions et y voit le déclin de
l’Occident, perçu comme une dégénérescence biologique. Chaque grande
civilisation est un organisme vivant qui naît, croît, se corrompt et meurt,
puis est remplacé par un nouveau au rythme de la lente pulsation des siècles.
Le premier volume paraît en 1918, au moment de l’effondrement allemand, le
second en 1922, et Spengler semble fournir à un public en désarroi une
herméneutique de son malheur, ainsi qu’un message d’espoir. Le pédagogue
inconnu devient une figure majeure de la "révolution conservatrice", qui prône
de réagir au déclin et aux effets négatifs de la modernité par l’instauration
d’un régime autoritaire et d’un socialisme national, qui n’est cependant pas,
tant s’en faut, le national-socialisme.
neurasthénie de la vie urbaine, mais aussi migrations et mélanges… Oswald
Spengler se penche en philosophe sur ces questions et y voit le déclin de
l’Occident, perçu comme une dégénérescence biologique. Chaque grande
civilisation est un organisme vivant qui naît, croît, se corrompt et meurt,
puis est remplacé par un nouveau au rythme de la lente pulsation des siècles.
Le premier volume paraît en 1918, au moment de l’effondrement allemand, le
second en 1922, et Spengler semble fournir à un public en désarroi une
herméneutique de son malheur, ainsi qu’un message d’espoir. Le pédagogue
inconnu devient une figure majeure de la "révolution conservatrice", qui prône
de réagir au déclin et aux effets négatifs de la modernité par l’instauration
d’un régime autoritaire et d’un socialisme national, qui n’est cependant pas,
tant s’en faut, le national-socialisme.
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