- EAN13
- 9782213703770
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 03/05/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 20,90
Layla et Majnûn – Layli et Majnûn en persan – est une légende du folklore
arabe d’origine préislamique relatant les amours contrariées de Qays et de sa
cousine Layla, deux enfants du désert d’Arabie. Lorsque le père de Layla
s’oppose à leur union, Qays, fou de douleur, se retire au désert parmi les
bêtes sauvages, chantant son amour à tous les vents. Il reçoit alors le surnom
de Majnûn – « le fou », en arabe.
La légende de Layla et Majnûn, qui trouve ses racines dans la Perse de
Babylone, fut propagée par les Bédouins au fil de leurs voyages et conquêtes.
Son adaptation en persan par Nezâmi à travers ce poème d’environ 4 000
distiques, composé en 1188 de notre ère, est considérée comme un des
chefs-d’oeuvre de la littérature persane.
Ce récit tragique d’une passion amoureuse qui ne s’accomplit que dans la mort
a marqué de nombreux miniaturistes et poètes. Louis Aragon, notamment, dans Le
Fou d’Elsa, s’inspirant du poème Medjoûn et Leïla de Jâmi (1414-1492),
transposa l’histoire dans la Grenade de l’Andalousie arabo-musulmane du XVe
siècle finissant.
La présente traduction du poème de Nezâmi est la première en langue française.
arabe d’origine préislamique relatant les amours contrariées de Qays et de sa
cousine Layla, deux enfants du désert d’Arabie. Lorsque le père de Layla
s’oppose à leur union, Qays, fou de douleur, se retire au désert parmi les
bêtes sauvages, chantant son amour à tous les vents. Il reçoit alors le surnom
de Majnûn – « le fou », en arabe.
La légende de Layla et Majnûn, qui trouve ses racines dans la Perse de
Babylone, fut propagée par les Bédouins au fil de leurs voyages et conquêtes.
Son adaptation en persan par Nezâmi à travers ce poème d’environ 4 000
distiques, composé en 1188 de notre ère, est considérée comme un des
chefs-d’oeuvre de la littérature persane.
Ce récit tragique d’une passion amoureuse qui ne s’accomplit que dans la mort
a marqué de nombreux miniaturistes et poètes. Louis Aragon, notamment, dans Le
Fou d’Elsa, s’inspirant du poème Medjoûn et Leïla de Jâmi (1414-1492),
transposa l’histoire dans la Grenade de l’Andalousie arabo-musulmane du XVe
siècle finissant.
La présente traduction du poème de Nezâmi est la première en langue française.
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