Je m'aperçois que je vous aime, heureusement que je suis vieux !
EAN13
9782368909393
Éditeur
Le Passeur
Date de publication
Collection
Le Passeur Poche
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Je m'aperçois que je vous aime, heureusement que je suis vieux !

Le Passeur

Le Passeur Poche

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La correspondance entre deux géants des lettres révèle une relation complexe,
un mélange d'admiration et d'agacement, entre ces deux personnalités à la fois
si proches et si différentes.
" La grandeur de l'esprit n'a d'égale en vous que la grandeur du cœur. "
(Hugo à George Sand).

Exactement contemporains, George Sand et Victor Hugo, ces deux grands "
monuments " littéraires de leur siècle, ne se sont pourtant jamais rencontrés.
Alors que tout ce que le xixe siècle comptait de célébrités, tant dans le
domaine artistique – musiciens, écrivains, peintres, comédiens – que dans le
monde politique et journalistique, est un jour passé par Nohant, et que ces
deux " monstres sacrés " fréquentaient les mêmes milieux à Paris, il fallut
attendre 1856 et la publication des Contemplations pour qu'une relation
épistolaire s'instaure entre eux.
Pour autant, celle-ci ne déboucha jamais sur une vraie rencontre, même lorsque
Hugo rentra d'exil.
Sand resta toujours réticente face au génie du poète, comme en témoigne sa
correspondance avant 1856. Leurs lettres ensuite dévoilèrent un curieux
mélange d'admiration et d'agacement réciproques.
Plusieurs textes annexes importants, tant de Hugo que de Sand (articles,
discours, éloge funèbre de Sand par Hugo), viennent éclairer cette relation
qu'on pourrait qualifier, sinon d'ambiguë, d'au moins complexe, entre ces deux
personnalités à la fois si proches et si différents.
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