- EAN13
- 9782756426297
- Éditeur
- Pygmalion
- Date de publication
- 30/09/2020
- Collection
- Ésotérisme
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Pygmalion 19,90
Qu’on ne s’y trompe pas : la sorcière n’est pas le sorcier au féminin. Elle
est d’une autre nature. Quand bien même parviendrait-on à faire l’inventaire
exhaustif des actes, des prodiges, des maléfices, des mirages relevant de la
sorcellerie, on n’aurait pas encore mis à nu le mystère de la sorcière. Dans
nos contrées d’Europe, trois ou quatre siècles durant, leur rendant l’hommage
flamboyant et purificateur du bûcher, on a consumé des sorcières par dizaines
de milliers. Mais, ce faisant, a-t-on réduit en cendres « la » sorcière,
l’amante des songes obsessionnels de clercs et de juges qui en perdaient la
raison ? Du cavalier noir de Verberie à la « dernière» sorcière Anna Göldin,
en passant évidemment par Salem, cet ouvrage vous propose de (re)découvrir les
plus grands procès de sorcellerie de l’histoire. Et peut-être de percer le
mystère d’une figure incontournable.
est d’une autre nature. Quand bien même parviendrait-on à faire l’inventaire
exhaustif des actes, des prodiges, des maléfices, des mirages relevant de la
sorcellerie, on n’aurait pas encore mis à nu le mystère de la sorcière. Dans
nos contrées d’Europe, trois ou quatre siècles durant, leur rendant l’hommage
flamboyant et purificateur du bûcher, on a consumé des sorcières par dizaines
de milliers. Mais, ce faisant, a-t-on réduit en cendres « la » sorcière,
l’amante des songes obsessionnels de clercs et de juges qui en perdaient la
raison ? Du cavalier noir de Verberie à la « dernière» sorcière Anna Göldin,
en passant évidemment par Salem, cet ouvrage vous propose de (re)découvrir les
plus grands procès de sorcellerie de l’histoire. Et peut-être de percer le
mystère d’une figure incontournable.
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