Namaste Sirji !

En plein divorce, je décide, sur un coup de tête, de partir enseigner dans un pays qui ne m’attire pas. Je m’imagine enseigner dans des conditions idéales au sein d’un collège huppé pour garçons, au Rajasthan. Je cherche surtout à l’oublier, lui. Quand on débarque avec ses angoisses et ses espoirs brisés, dans un pays opposé à sa culture, s’adapter en quelques jours est une gageure.
« Je le dis d’emblée pour ne pas laisser planer le doute : j’ai été captivé par celle-ci », Dieter Moitzi.
« Un livre intéressant, prenant, magnifiquement bien écrit. C’est un récit qui a du caractère.
Ses difficultés, ses souffrances, les chocs culturels... Benjamin Audoye ne cache rien », L’Inde
en livres.
« Un de ces rares livres qui est immédiatement accessible, écrit directement pour le lecteur,
sans intermédiaire ni interférence », Brian Masters.
« Un récit autobiographique écrit avec le cœur et les tripes », Loukas Montclar.
Namaste Sirji ! Un prof en Inde est la version poche du récit autobiographique de l’auteur, qui a passé huit mois comme professeur de français langue étrangère en Inde. Par la suite, Benjamin Audoye a écrit Les Dettes de Je, un roman fustigeant certaines injonctions sociales imposées aux femmes, puis il s’est intéressé à la gestation pour autrui, dans Comme il faut, un récit bienveillant, mais en aucun cas militant, qui se déroule à Castries, le village héraultais de son enfance.