- EAN13
- 9782874630255
- ISBN
- 978-2-87463-025-5
- Éditeur
- Presses Universitaires du Louvain
- Date de publication
- 2006
- Collection
- Thèses de la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication
- Nombre de pages
- 458
- Dimensions
- 16 x 6,5 cm
- Poids
- 728 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'action politique et diplomatique du Saint Siège au Moyen-Orient de 1978 à 1992
Theodoros Koutroubas
Presses Universitaires du Louvain
Thèses de la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication
Offres
Ce travail discute l’hypothèse selon laquelle la Papauté possède toutes les
caractéristiques pour jouer un rôle de puissance internationale « soft » d’une
importance certaine, par sa capacité à exercer une emprise morale directe sur
un très grand nombre de citoyens et de décideurs politiques de plusieurs
nations. Dans cette percective, l’auteur analyse l’action politique et
diplomatique du Saint Siège dans une des régions les plus conflictuelles du
monde, où les personnes les plus susceptibles d’accueillir de manière positive
son action et son discours ne sont qu’une petite minorité, avec l’objectif
d’apporter une contribution à l’étude de l’influence en tant qu’attributs de
puissance au niveau international. La période choisie, la première moitié du
règne de Jean-Paul II, est marquée par le fait que la capacité de destruction
massive des deux superpuissances de l’époque limitait l’utilisation de la
force armée en tant que moyen d’expansion de leur pouvoir. Les conclusions
démontrent, entre autres, que la puissance réelle de la Papauté est
considérablement limitée lorsque se trouvent face à elle des leaders
politiques, des hommes de médias, ou des opinions publiques, qui ne partagent
pas ses convictions, ou qui n’ont pas les mêmes priorités face aux évolutions
internationales.
caractéristiques pour jouer un rôle de puissance internationale « soft » d’une
importance certaine, par sa capacité à exercer une emprise morale directe sur
un très grand nombre de citoyens et de décideurs politiques de plusieurs
nations. Dans cette percective, l’auteur analyse l’action politique et
diplomatique du Saint Siège dans une des régions les plus conflictuelles du
monde, où les personnes les plus susceptibles d’accueillir de manière positive
son action et son discours ne sont qu’une petite minorité, avec l’objectif
d’apporter une contribution à l’étude de l’influence en tant qu’attributs de
puissance au niveau international. La période choisie, la première moitié du
règne de Jean-Paul II, est marquée par le fait que la capacité de destruction
massive des deux superpuissances de l’époque limitait l’utilisation de la
force armée en tant que moyen d’expansion de leur pouvoir. Les conclusions
démontrent, entre autres, que la puissance réelle de la Papauté est
considérablement limitée lorsque se trouvent face à elle des leaders
politiques, des hommes de médias, ou des opinions publiques, qui ne partagent
pas ses convictions, ou qui n’ont pas les mêmes priorités face aux évolutions
internationales.
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